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Les oeuvres vives

Bonjour et bienvenue sur cet article.

Hugo et moi avions à cœur de proposer à tous ceux qui le souhaitent, un partage tiré d’une série de prédications de David nommées “Les œuvres vives” et que vous pouvez trouver en cliquant sur le menu idoine en haut de ce site. Pour plus de confort, nous avons copié la première de la série ci-après.

A partir de sa conclusion, que nous avons aussi reproduit juste après cette introduction, nous aimerions avoir votre point de vue/expérience sur le sujet afin d’alimenter nos réflexions respectives du moment. Moi personnellement, je me pose beaucoup de questions sur mon implication, ma valeur ajoutée (ou soustraite!) au conseil et/ou à l’église.

Je vous propose de réagir sur la conclusion de cette prédication dans le commentaire en-dessous. Nous ne souhaitons pas qu’il y ait une discussion de la conclusion, mais plutôt un apport personnel sur ce que cela vous inspire à vous: qu’est ce que cette conclusion fait résonner en vous?  Votre participation sera modérée et publiée plus tard, ne vous étonnez pas si vous ne la voyez pas tout de suite. L’idée n’est pas dans un premier temps de discuter des avis des uns et des autres mais de faire une espèce de ‘mur de post-it’ où chacun est libre d’exprimer son opinion personnelle. Hugo et moi trouvons que cela ne peut que nous enrichir. Merci mille fois de vos contributions et revenez de temps en temps pour voir comment cela progresse. Si vous le souhaitez, vous pouvez anonymiser votre commentaire.

Valter et Hugo

Proposition à commenter:

Je suis persuadé que la chrétienté est remplie d’œuvres mortes : des œuvres qui« paraissent sages », honorables même, mais qui ne résultent pas d’une véritable foi de notre part mais plutôt d’un sentiment de culpabilité, de religiosité, d’obligation, et qui du coup ne servent à rien et qui sapent inutilement nos énergies. Or, Hébreux nous dit que Jésus a versé son sang pour « purifier notre conscience des œuvres mortes » !
….

La question est de savoir pourquoi nous entreprenons ce que nous entreprenons, et pourquoi on y persiste. Cela nécessite une certaine remise en question de la part de chacun, sous le regard bienveillant de Dieu. Cela nécessite de lui faire confiance. Mais pour ma part je suis convaincu que si chacun de nous accepte vraiment que le Christ purifie notre conscience – et donc notre vie à chacun – des oeuvres mortes, cela libérera beaucoup plus de temps et d’énergie pour chacun d’entre nous pour servir le Dieu vivant d’une façon qui le glorifie davantage – et d’une façon beaucoup moins lourde pour nous. « mon joug est aisé, et mon fardeau léger », nous dit Jésus (Mt 11 : 30).

Prédication complète:

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